À l’heure où la technologie est omniprésente dans notre quotidien, l’échographie est aujourd’hui sur notre téléphone portable ! L’échographe tient dans la poche et donc disponible dans la main. La formation à l’écho-clinique est enfin disponible à la médecine générale. L’imagerie devenue accessible aux soins primaires va-t-elle apporter une réelle amélioration des pratiques ? Son utilisation est-elle source de perte de temps (chronophage). Pire, sa réputation d’opérateur dépendant est-elle source d’erreur d’orientation ? Les résultats de notre étude prospective interventionnelle multicentrique en cluster réalisée en Drôme-Ardèche, sur 2 ans, apportent une réponse invitant à vérifier nos premiers résultats : l’écho-clinique, à l’aide d’un ultra-portable, chez un médecin novice en échographie, après deux jours de formation seulement, diminue le temps de consultation des consultations complexes, diminue les prescriptions para-cliniques, améliore l’adhésion du traitement, améliore la relation soignant-soigné. L’approche binaire écho-clinique en soins primaires associée à la puissance de l’image redonne une vision à l’aveugle : il trouve enfin une certitude, et sous le coup de l’émotion, il est en capacité de changer de paradigme. Une révolution en soins primaires ? Nous pensons que OUI. Nous souhaitons d’autres études pour confirmer et introduire alors l’écho-clinique dans l’enseignement initial universitaire et une lettre clé en CCAM pour les médecins généralistes.. l’heure ou la technologie est omniprésente dans notre quotidien, l’échographie est aujourd’hui sur notre téléphone portable ! L’échographe tient dans la poche et donc disponible dans la main. La formation à l’écho-clinique est enfin disponible à la médecine générale. L’imagerie devenue accessible aux soins primaires va-t-elle apporter une réelle amélioration des pratiques ? Son utilisation est elle source de perte de temps (chronophage). Pire, sa réputation d’opérateur dépendant est elle source d’erreur d’orientation ? Les résultats de notre étude prospective interventionnelle multicentrique en cluster réalisée en Drôme-Ardèche, sur 2 ans, apportent une réponse invitant à vérifier nos premiers résultats : l’écho-clinique, à l’aide d’un ultra-portable, chez un médecin novice en échographie, après deux jours de formation seulement, diminue le temps de consultation des consultations complexes, diminue les prescriptions para-cliniques, améliore l’adhésion du traitement, améliore la relation soignant-soigné . L’approche binaire écho-clinique en soins primaires associée à la puissance de l’image redonne une vision à l’aveugle : il trouve enfin une certitude, et sous le coup de l’émotion, il est en capacité de changer de paradigme. Une révolution en soins primaires ? Nous pensons que OUI . Nous souhaitons d’autres études pour confirmer et introduire alors l’écho-clinique dans l’enseignement initial universitaire et une lettre clef en CCAM pour les médecins généralistes.. l’heure ou la technologie est omniprésente dans notre quotidien, l’échographie est aujourd’hui sur notre téléphone portable ! L’échographe tient dans la poche et donc disponible dans la main. La formation à l’écho-clinique est enfin disponible à la médecine générale. L’imagerie devenue accessible aux soins primaires va-t-elle apporter une réelle amélioration des pratiques ? Son utilisation est elle source de perte de temps (chronophage). Pire, sa réputation d’opérateur dépendant est elle source d’erreur d’orientation ? Les résultats de notre étude prospective interventionnelle multicentrique en cluster réalisée en Drôme-Ardèche, sur 2 ans, apportent une réponse invitant à vérifier nos premiers résultats : l’écho-clinique, à l’aide d’un ultra-portable, chez un médecin novice en échographie, après deux jours de formation seulement, diminue le temps de consultation des consultations complexes, diminue les prescriptions para-cliniques, améliore l’adhésion du traitement, améliore la relation soignant-soigné . L’approche binaire écho-clinique en soins primaires associée à la puissance de l’image redonne une vision à l’aveugle : il trouve enfin une certitude, et sous le coup de l’émotion, il est en capacité de changer de paradigme. Une révolution en soins primaires ? Nous pensons que OUI . Nous souhaitons d’autres études pour confirmer et introduire alors l’écho-clinique dans l’enseignement initial universitaire et une lettre clef en CCAM pour les médecins généralistes.. l’heure ou la technologie est omniprésente dans notre quotidien, l’échographie est aujourd’hui sur notre téléphone portable ! L’échographe tient dans la poche et donc disponible dans la main. La formation à l’écho-clinique est enfin disponible à la médecine générale. L’imagerie devenue accessible aux soins primaires va-t-elle apporter une réelle amélioration des pratiques ? Son utilisation est elle source de perte de temps (chronophage). Pire, sa réputation d’opérateur dépendant est elle source d’erreur d’orientation ? Les résultats de notre étude prospective interventionnelle multicentrique en cluster réalisée en Drôme-Ardèche, sur 2 ans, apportent une réponse invitant à vérifier nos premiers résultats : l’écho-clinique, à l’aide d’un ultra-portable, chez un médecin novice en échographie, après deux jours de formation seulement, diminue le temps de consultation des consultations complexes, diminue les prescriptions para-cliniques, améliore l’adhésion du traitement, améliore la relation soignant-soigné . L’approche binaire écho-clinique en soins primaires associée à la puissance de l’image redonne une vision à l’aveugle : il trouve enfin une certitude, et sous le coup de l’émotion, il est en capacité de changer de paradigme. Une révolution en soins primaires ? Nous pensons que OUI . Nous souhaitons d’autres études pour confirmer et introduire alors l’écho-clinique dans l’enseignement initial universitaire et une lettre clef en CCAM pour les médecins généralistes..
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