Les comités de bioéthique se multiplient, ce qui est une bonne chose. Bien souvent toutefois, la manière dont les institutions les organisent les rend impuissants en les isolant et en restreignant le questionnement aux seuls membres qui y siègent. Faute de s’élargir à l’institution elle-même, à tous ses acteurs, aux patients,etc., le questionnement devient creux et sans enjeu. Nous accompagnons les comités de bioéthique pour éviter un tel cloisonnement qui rend la dimension éthique superficielle et énergivore
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